Culture

Dans le cadre de la soirée de soutien à SOS Méditerranée du samedi 2 décembre 2023 à 20 h 00, EVAB ouvre ses colonnes à l'association "Musécrimages" et au café associatif ''Le Barnabu''.

Personnalité respectée de la chanson française, Michèle Bernard connaît une rentrée tout feu tout flamme avec un livre de souvenirs et un disque « Miettes ».

Dans le cadre de la soirée de soutien à SOS Méditerranée du samedi 2 décembre 2023 à 20 h 00, EVAB ouvre ses colonnes à l'association "Musécrimages" et au café associatif "Le Barnabu"

On nous avait dit que la République de Macron serait irréprochable ;

Le 13 novembre 1938, voilà exactement 85 ans, naît à Marshalltown dans l'Iowa, Jean Seberg. Cette actrice  américaine passa une partie importante de sa carrière en France et deviendra l’une des icônes de la Nouvelle Vague

Dans le cadre de la soirée de soutien à SOS Méditerranée, le samedi 2 décembre 2023, EVAB ouvre ses colonnes à l'association «Musécrimages» qui a proposé cette initiative dans le cadre du festival "Migrant'scène" (voir agenda).

 

Les leçons d’écologie qu’on nous dispense sont souvent tournées vers l’individu, la vie domestique, le traitement des déchets familiaux.

Le 6 novembre 1956, voilà exactement 67 ans, prend fin l'expédition militaire de Suez. Les parachutistes français et britanniques doivent cesser le feu quelques heures à peine après avoir sauté sur le canal et défait les troupes égyptiennes.

Dans le cadre de la soirée de soutien à SOS Méditerranée, le samedi 2 décembre 2023, EVAB ouvre ses colonnes à l'association Musécrimages qui a proposé cette initiative dans le cadre du festival Migrant' scène (voir agenda).

Membre de l'Académie Française et professeur   au collège de France,  Claude Lévi-Strauss est le père du structuralisme et a marqué profondément la pensée contemporaine, tant dans les champs de l'ethnologie que de la sociologie, la philosophie, l'histoire ou la littérature. 

 Jean-Claude Michéa s’attaque, une fois encore, au capitalisme, "un fait social total", à la fois économique, politique et culturel.

Le 9 octobre 1890, voilà exactement 133 ans, dans le parc du château de Gretz-Armainvilliers en Seine-et-Marne,  Clément Ader (49 ans) s'élève au-dessus du sol à bord d'un engin à moteur plus lourd que l'air..... C'est le véritable  début de l'aviation.

À travers ce récit, nous découvrons à travers le regard de l’enfance, Béziers pendant la guerre, l’occupation et l’après-guerre. 

Le 25 septembre 1932, voilà 91 ans, naît à Toronto Glenn Gould, pianiste, compositeur, écrivain, homme de radio et réalisateur canadien. Il est considéré comme l'un des plus grands pianistes du XXe siècle.

dans l’intimité du droit des étrangers

Réal. Swen de Pauw

Résultat d’une longue enquête au sein des restos du cœur, ce livre nous alerte sur une politique qui fait usage de l’aide alimentaire à d’autres fins que l’éradication de la pauvreté.

Le 21 août 1853, voilà exactement 180 ans, Bayonne est le théâtre de la première corrida « à l'espagnole » jamais organisée en France. Parmi les spectateurs, figure l'épouse espagnole de Napoléon III, l'impératrice Eugénie de Montijo, à l'origine de cette initiative.

Le COLBAC (Comité de Liaison Biterrois Anti Corrida) a manifesté une nouvelle fois à Béziers, ce dimanche 13 août dans les rues de Béziers la ville, au milieu d’une foule venue faire la fête, surprise, indifférente, souvent hostile. Sophie Maffre Baugé, présidente de cette association nous dresse le bilan de cette manifestation et les raisons de son combat pour l’abolition de la corrida dans un entretien exclusif pour « En Vie à Béziers ».

Le 14 août 1926, voilà exactement 97 ans, naît à Paris René Goscinny, originaire d’une famille d’immigrés polonais. Ecrivain humoriste et scénariste de bande dessinée français, il est le créateur d’Astérix, d’Iznogoud et du Petit Nicolas ainsi que le principal scénariste de Lucky Luke.

Devant l’urgence des crises que notre société traverse, les gouvernements sont appelés à combiner un ensemble de normes, d’institutions et de techniques afin de mettre en œuvre de nouvelles concertations.

Le 7 août 1947, voilà exactement 76 ans, le radeau «Kon Tiki» de l'anthropologue norvégien Thor Heyerdal arrive en Polynésie après un voyage de 8000 kms.

En 1971, le ministre de la Défense Michel Debré annonce qu’il va multiplier par six la superficie du camp militaire du Larzac, ce qui implique l’expropriation des paysans. Sur 107 qui vivent sur le plateau, 103 font le serment de ne jamais vendre leurs terres. 

Mathématicien et économiste, Georgescu (1906-1994), est un des précurseurs de la décroissance et vraisemblablement le premier à avoir alerté le monde sur l’épuisement des ressources de notre planète.

Sous la forme d’un journal de bord, l’auteur, professeur de philosophie, décrit ses conditions de travail et sa relation avec les élèves dans un lycée technique de Marseille durant l’année scolaire 2021-2022.

Le 31 juillet 1914, voilà exactement 109 ans, Jean Jaurès est tué d'un coup de revolver dans le café du Croissant, à Paris. L'assassin du leader socialiste est un déséquilibré de 29 ans, du nom de Raoul Villain, qui lui reproche d'être opposé à la mobilisation générale et à la guerre imminente contre l'Allemagne.

Le 24 juillet 1802, voilà exactement 221 ans,  naît à Villers-Cotterêts, au nord-est de Paris, un gros garçon aux cheveux frisés. Sa mère est la fille de l'aubergiste local, son père est un valeureux général de la Révolution, en semi-retraite du fait de sa mésentente avec Napoléon Bonaparte.

Le 17 juillet 1936, voilà exactement 87 ans, la garnison de Melilla basée au Maroc espagnol  se soulève contre le gouvernement républicain, sous le commandement du général Franco. C'est le début d'une guerre civile de trois ans qui va faire 500.000 morts et un prélude aux horreurs de la Seconde Guerre mondiale.

Le 10 juillet 1947, voilà exactement 76 ans, un vieux bateau panaméen  le Président-Wardfield venant de Portovenere (Italie) pour transformation et ravitaillement en carburant appareille du port de Sète avec à son bord 4551 juifs d'Europe centrale, rescapés des camps de la mort et dotés de passeports en règle.

Le 3 juillet 1940, voilà exactement 83 ans,  la Royal Navy attaque la flotte française amarrée dans la rade nord-africaine de Mers el-Kébir, près d'Oran. La brutalité de l'attaque qui fait 1297 morts chez les marins français et réveille en France une anglophobie latente. C'est une aubaine pour les partisans d'une cohabitation avec l'occupant allemand.

Le 26 juin 1988, voilà exactement 35 ans, un accord est signé à Matignon avec le FLNKS (Front de Libération Nationale Kanak et Socialiste)   pour mettre fin au conflit sanglant qui a eu lieu 50 jours auparavant à Ouvéa en Nouvelle Calédonie.

Une cagnotte Leetchi a été créée par l’association "les Amis de François Truffaut" relayant une initiative de Serge Toubiana, président d’Unifrance et ami de l’acteur.

Le 12 juin 1929, voilà exactement 94 ans, Anne Franck voit le jour à Francfort-sur-le-main d’Otto Frank et son épouse Edith Holländer. Elle a une sœur, de trois ans son aînée, Margot. Elle représente à elle seule la jeunesse qui a souffert et péri dans les camps d'extermination nazis.

Le dimanche 29 mai 2005, voilà exactement 18 ans, au terme d'un débat démocratique d'une exceptionnelle vitalité, le peuple français rejette à une écrasante majorité de 55% le traité constitutionnel européen, pourtant encensé par la quasi-totalité des médias et de la classe dirigeante. Le 2 juin suivant, le peuple hollandais rejette à son tour le traité.

Le 22 mai 2016, voilà exactement 7 ans, Ken Loach reçoit pour la seconde fois la palme d'or à Cannes pour "Moi, Daniel Blake" après "Le vent se lève"  quelques années auparavant.

Le business des frontières fermées
Taina Tervonen, Jeff Pourquié ( BD )

Le 15 mai 1902, Georges Méliès présente Le Voyage dans la Lune. Il s'agit du premier film de fiction avec trucages. Sept ans après l'invention du cinéma, le 7e Art naît véritablement ce jour-là.

Le samedi 24 avril 1915, voilà exactement 118 ans, à Constantinople, capitale de l'empire ottoman, 600 notables arméniens sont assassinés sur ordre du gouvernement. C'est le début d'un génocide, le premier du XXe siècle qui va faire environ 1,2 à 1,5 million de victimes dans la population arménienne de l'empire turc.

Le 17 avril 1961, voilà exactement 62 ans, une poignée d'opposants à Fidel Castro débarquent dans la Baie des Cochons, à l'ouest de l'île de Cuba. Armés par la CIA, ils se donnent pour objectif de renverser le régime castriste, quelques mois après que celui-ci se soit rangé dans le camp soviétique.

Le 10 avril 1930, voilà exactement 93 ans Claude Bolling voit le jour à Cannes. Pianiste, compositeur et chef d’orchestre, Claude Bolling se jouait des frontières qui séparent, en Europe, œuvres classiques, jazz, chanson et musique de film.

Le 3 avril 1862, voilà exactement 181 ans, sortent en librairie les deux premiers tomes d'un roman promis à un succès exceptionnel : Les Misérables. L'auteur est un proscrit à barbe blanche, qui, de son exil de Guernesey, n'en finit pas de lancer des propos violents et satiriques à l'encontre de l'empereur Napoléon III, alors à l'apogée de son règne. Victor Hugo, car c'est de lui qu'il s'agit, a mûri pendant près de trente ans son projet romanesque.

Le 27 mars 1854, voilà exactement 169 ans, débute la guerre de Crimée, ainsi dénommée d'après le lieu principal où vont se dérouler les hostilités : la presqu'île de Crimée et sa capitale Sébastopol, au nord de la mer Noire.

Documentaire d’Oliver Dickinson

Le 20 mars 1956, voilà exactement 67 ans, la France met fin à son protectorat sur la Tunisie qui retrouve donc son indépendance.

Le 13 mars 1954,voilà exactement 79 ans, le général Giap donne l'assaut à Diên Bên Phu, le camp retranché français, dans la région montagneuse du haut Tonkin, près de la frontière avec le Laos qui est assiégé depuis le 3 février.

Le 6 mars 1951, voilà exactement 72 ans,  débute le procès de Ethel et Julius Rosenberg, membres du parti communiste américain. Ils sont accusés d'avoir livré des secrets sur la bombe atomique au vice-consul soviétique à New York. Les faits remontent en réalité à la Seconde Guerre mondiale.

Le soir du 27 février 1933, voilà exactement 90 ans, à Berlin, la police est avertie d'un début d'incendie au Reichstag, le parlement allemand.

Le dimanche 20 février 1944, voilà exactement 79 ans, sur le lac Tinn, dans le comté norvégien de Telemark, le ferry SF Hydro explose et sombre avec ses passagers et son chargement.

« L’homme ne vit pas seulement de pain, mais de roses. » Karl Marx

1er souvenir des événements : 

Le 13 février 1974, voilà exactement 49 ans, Alexandre Soljenitsyne est expulsé d'URSS. L'écrivain soviétique rendu célèbre grâce à son roman Une journée d'Ivan Denissovitch (1962) et à l'appui de Krouchtchev, est rapidement mis à l'index sous son successeur Brejnev, tout en étant encensé par la critique littéraire internationale.
Fin 1973, il fait passer à l'Ouest clandestinement puis publier en France le manuscrit de L'archipel du goulag décrivant le régime concentrationnaire soviétique qu'il a connu de 1945 à 1953. Arrêté le 12 février, il est expulsé le lendemain vers la RFA après avoir été déchu de la nationalité soviétique.


La femme d'Alexandre Soljenitsyne s'est entretenue par téléphone le soir du 13 février, de Moscou, avec son mari, arrivé quelques heures plus tôt en Allemagne fédérale. L'écrivain lui a déclaré qu'il était en bonne santé et qu'il avait passé la nuit suivant son arrestation, mardi soir, à la prison moscovite de Lefortovo.

On s'interroge encore sur les conditions dans lesquelles Soljenitsyne a accepté de quitter l'Union soviétique. Les agences de presse citent des sources soviétiques à Moscou, selon lesquelles l'écrivain a accepté volontairement de partir, après l'entretien qu'il a eu mardi avec un représentant du ministère public. De même source, on indique que les autorités avaient l'intention de prévenir quelques jours à l'avance Soljenitsyne de sa prochaine expulsion. C'est dans ce but qu'il aurait été convoqué par le parquet vendredi dernier, mais son refus de se rendre aux convocations qui lui étaient adressées aurait conduit à brusquer son départ. Toujours de source soviétique, on indique que la famille de Soljenitsyne serait autorisée, en le rejoignant, à emporter tous les documents dont il peut avoir besoin pour la poursuite de son œuvre.

De nombreux hommes d'État ont exprimé leur émotion devant la mesure d'expulsion qui vient de frapper Alexandre Soljenitsyne et ont fait savoir que leurs pays respectifs seraient prêts à accueillir l'écrivain, s'il souhaitait y résider. C'est notamment ce qu'a déclaré à Washington le secrétaire d'État américain, M. Henry Kissinger, qui a ajouté : " Les États-Unis ont toujours apprécié et considéré avec sympathie les manifestations de liberté dans toutes les sociétés. Nous avons regretté les événements qui ont pu interdire ce processus. Nous ne connaissons pas assez bien les circonstances du départ de M. Soljenitsyne "

A Moscou, la plupart des journaux publient, ce jeudi 14 février, une information de l'agence Tass annonçant l'expulsion de Soljenitsyne. La nouvelle est brève, difficile à trouver au bas de la dernière page. La discrétion avec laquelle les Soviétiques sont informés de la conclusion de l'affaire Soljenitsyne contraste avec l'ampleur de la campagne qui avait été lancée contre l'auteur de l'Archipel du Goulag. L'agence Tass précise que " la famille de Soljenitsyne pourra le suivre dès qu'elle l'estimera nécessaire ". Ce moment pourrait être très proche. La femme de l'écrivain a fait savoir, en effet, qu'elle le rejoindrait en exil le plus rapidement possible avec leurs enfants.

Les journaux ne précisent pas vers quel pays Soljenitsyne a été expulsé, mais le 13 février au soir les Moscovites étaient au courant. Le choix de l'Allemagne fédérale est particulièrement judicieux du point de vue des dirigeants de l'U.R.S.S. En évitant les États-Unis, on ne donne pas l'impression de céder à une campagne américaine, de se plier à des exigences américaines. En choisissant l'Allemagne fédérale, on prend au mot le chancelier Willy Brandt, qui avait affirmé dans un discours prononcé au début du mois que Soljenitsyne serait le bienvenu en R.F.A. On évite donc de longues tractations et on suggère aussi que Soljenitsyne, " le Vlassov de la littérature ", selon la Gazette littéraire, retourne auprès des siens. Tout cela est d'une certaine logique : Soljenitsyne, coupable, d'après la presse soviétique, d'avoir fait l'éloge du collaborateur Vlassov, se retrouve au pays des revanchards allemands...

Contrairement à ce qu'on pourrait croire, l'expulsion de Soljenitsyne n'a pas été le résultat d'une décision improvisée prise à chaud. Les discussions avec le chancelier Brandt auraient commencé au début du mois par l'intermédiaire de l'ambassade soviétique à Bonn. L'escalade à laquelle on a assisté - en particulier la déclaration faite par Soljenitsyne niant toute légitimité aux institutions soviétiques - n'aurait donc joué aucun rôle dans la décision des Soviétiques. Celle-ci était prise depuis longtemps et, selon certaines versions, même si Soljenitsyne était resté silencieux, il aurait été chassé tout de même. Il a bel et bien été expulsé de son pays pour avoir écrit l'Archipel du Goulag.

Proscrit d'U.R.S.S.Alexandre Soljenitsyne s'installera finalement aux Etats-Unis pour vingt ans d'exil, vingt ans d'écriture forcenée en sa retraite américaine du Vermont qui n'ont pas entamé l'énergie du dissident. Il rentrera en Russie en 1994 où Gorbatchev l'avait réhabilité en 1989. Il y décèdera en 2008 à 89 ans.

 Quand il choisit de retrouver sa mère patrie en 1994, il va le faire lentement, étape par étape, d'est en ouest. Son avion fait escale à Magadan, cette porte de l'enfer concentrationnaire de la Kolyma, cette ville perdue de l'extrême orient russe .

Tel un pape, Soljenitsyne baise ce sol foulé par les martyrs anonymes auxquels son monumental Archipel du Goulag avait donné la parole. À chaque gare, les anciens zeks (les détenus) viennent à sa rencontre. Chaque soir, il écoute les doléances d'un public désorienté par la chute du communisme, les réformes économiques, la perte d'un empire. Humiliés et offensés ils trouvent Soljenitsyne attentif à leurs préoccupations. Une fois de plus, Soljénitsyne disait non. Non à la liberté économique débridée, non à la confiscation de la démocratie par les anciens profiteurs. Soljenitsyne n'est pas un politicien, il ne présente pas un programme susceptible de rassembler des adhésions. Il est avant tout un rebelle qui dit non. Une grande part du malentendu entre lui et l'Occident vient de ce que l'Occident a toujours mal perçu la racine spirituelle du non de Soljenitsyne. Cette racine est religieuse : l'homme a trouvé la foi dans le dénuement absolu des camps. Son premier refus a été celui de l'avilissement de l'homme matriculaire. De ce refus central sont venus les autres : refus de l'idéologie, refus des pouvoirs qui annihilent les personnes, refus du progrès économique transformé en veau d'or, du libéralisme politique qui engendre une jungle économique et sociale. Ces refus ont leur histoire, Soljenitsyne ne les a pas tous articulés d'un coup, mais l'un contenait l'autre.

Soljenitsyne a dénoncé toutes les formes de totalitarismes, du stalinisme à la Terreur révolutionnaire française, ce qui lui a valu de nombreux ennemis. Ce rebelle qui dit non, a connu la joie intense que procure précisément le refus. La jubilation de la révolte, le rire de l'esclave affranchi, la mordante ironie de l'imprécateur marquent son œuvre.

 Quand il retrouve sa patrie russe après vingt ans d'exil, son retour triomphal fait penser en France à celui de Victor Hugo en 1870 après 19 ans d'exil mais lui .... c'est une autre histoire

Version audio avec illustration musicale à écouter sur Radio Pays d'Hérault ICI

 

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