... EN LE RENDANT INACCESSIBLE AU BITERROIS LAMBDA ?

Le sauvetage du centre-ville, de ses commerces et de ses commerçants est annoncé dans les articles du journal de propagande municipale, le JDB, comme la réalisation majeure de la municipalité biterroise.
Comparons cette affirmation avec la politique de stationnement mise en place.
Avant la mise en place du forfait post stationnement (FPS ex-procès-verbal PV) le 1er janvier 2018, les Biterrois ont laissé en 2017 1 649 907 euros de produit des amendes dans les caisses de la municipalité.
Depuis le premier janvier 2018 et la mise en place de la délégation de service public à la société EFFIA, il faut payer 30 euros pour 4 heures de stationnement sur les Allées Paul Riquet.

Qui à Béziers peut payer 30 euros pour faire ses courses en centre-ville alors que les parkings sont gratuits dans les grandes surfaces environnantes ?

On peut bien-sûr rajouter à ces questions de stationnement pour le commerce les problèmes de ceux qui travaillent en centre-ville et de ceux qui y résident, les coûts de stationnement étant sensiblement les mêmes.
De fait depuis début 2018 et la mise en place du FPS le centre-ville de Béziers offre le spectacle déroutant d’une zone tout voiture sans voitures. Ce tant pour les parkings de surface que pour les parkings souterrains.
Pire, dans une fuite en avant caractéristique de sa cécité la municipalité envisage la construction d’un parking payant place du général De Gaulle en 2022.

Question bête : toi qui es commerçant, résident, salarié dans le centre-ville de Béziers, toi qui as cru aux promesses électorales de R. Menard en 2014, qu’est ce qui peut te refaire voter pour lui en 2020 ?

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