Le 23 août, la police contrôle Marina, une femme qui était torse nu dans les rues de la ville par temps de canicule. Elle avait expliqué aux agents avoir «hyper chaud» et avoir voulu faire «comme la moitié des hommes» ce jour-là, «qui n’avaient pas de tee-shirts». Mais les autorités ont tout de même engagé des poursuites: une ordonnance pénale pour «exhibition sexuelle». Le défilé a terminé son parcours devant le palais de justice, dont les marches ont été occupées, avant d’être envahi et chahuté.

Face à la mobilisation, les protestataires ont obtenu la promesse de l’annulation de l’ordonnance pénale de Marina de la part de la mairie. La lutte paie !

(Contre Attaque)