Environnement

IMERYS multinationale de l'extraction minière avec le soutien inconditionnel de l'État français veut exploiter une mine de lithium à Échassières dans l'Allier. (suite de l’enquête)

Je me doute bien qu’il est difficile pour un.e journaliste d’imaginer qu’un préfet - en l’occurence celui de l’Hérault cité dans un article du Midi Libre le lundi 2 décembre - ou que des administrations, puisse altérer la réalité à ce point.

IMERYS multinationale de l'extraction minière avec le soutien inconditionnel de l'État français veut exploiter une mine de lithium à Échassières dans l'Allier.

Entre le 11 et le 14 novembre 1999, pendant 3 jours et deux nuits, une gigantesque zone géographique qui va du Rhône à la frontière espagnole est soumise à des inondations catastrophiques.

L’eau est devenue un problème majeur dans notre vie quotidienne : sécheresses, inondations, eau potable, irrigation agricole, etc.  On s’inquiète à juste titre de l’utilisation dans l’avenir de cette ressource unique, bien commun, qui attire les convoitises et mobilise les intérêts.

Soit un terrain de 11 ha dont 7,5 ha de panneaux implantés dans une carrière en fin d’exploitation. A priori, cela paraît vertueux, les sols étant déjà largement artificialisés. Mais lorsqu’on se penche sur l’historique de l’opération, l’affaire est moins sympathique.

Les « climato-sceptiques » sont au pouvoir dans la région de Valence. Les « climato-rassuristes » sont au pouvoir en France. L’heure est venue de dresser les premiers bilans de leurs actions climatiques.

Durban-Corbières est géographiquement éloignée de son homonyme d’Afrique du Sud. On y rencontre pourtant les mêmes problèmes de ravitaillement en eau potable.

Après des années de mobilisation, le concessionnaire du projet d’autoroute A69 entre Toulouse et Castres (ATOSCA) vient à peine d’acquérir les 100 % du foncier sur les 53 kilomètres projetés.

Alexandra Dupont a été la dernière locataire de l’A69. Dans une ITW donnée au quotidien « Libération » elle raconte comment elle a été expulsée par la société concessionnaire Atosca.

Communiqué commun du 3 septembre 2024 du réseau "Sortir du nucléaire", de Greenpeace France, et de CRILAN (Comité Régional d’Information et de Lutte Anti­nucléaire).

Le Brésil connait sa plus grande sécheresse depuis plus d’un demi-siècle. Elle aggrave la « pandémie » d’incendies et provoque des réponses alternatives.

Le propriétaire des soi-disant voitures vertes Tesla, Elon Musk soutient Trump aux présidentielles américaines. Il vient « en même temps » d’abattre 500 000 arbres en Allemagne.

Du 2 au 8 septembre 2024, l’eau n’aura pas de frontières. Dans le cadre de la saison 7 des Soulèvements de la terre, un convoi de l’eau va relier la Venise verte du marais poitevin à la Venise bleue de la mer Adriatique.

Le nouveau Front Populaire annonce un moratoire pour l’autoroute A69 entre Castres et Toulouse.

Parmi les manifestants contre l’A 69 présents les 7 / 8 / 9 juin 2024 à Puylaurens, peu se doutaient que la désignation « d’écoterroriste », risquait le soir du 9 juin de devenir la norme avec la dissolution de l’Assemblée nationale.

Bangalore, mégalopole du sud de l’Inde, vit la pire sécheresse de son histoire. La bétonisation des sols prépare depuis des décennies ce scénario catastrophe.

Onze militants contre le projet de l'autoroute A69 étaient convoqués à 8h30 à la gendarmerie de Castres ce jeudi 30 mai 2024, pour une journée passée en garde à vue sans poursuites judiciaires.

Les vagues de chaleur se succèdent et l’eau est rationnée au Mexique. Une cinquantaine de personnes sont mortes, les cultures dépérissent et la pénurie de produits alimentaires augmente. Focale sur un pays en stress hydrique.

Berlin, la capitale allemande et le Land du Brandebourg affrontent une diminution rapide de leurs ressources en eau. Au cœur de cette diminution, un gaspillage industriel des ressources hydriques.

Qui aurait pu croire que le Costa Rica, pays luxuriant d’Amérique centrale, serait un jour amené à rationner l’électricité par manque de précipitations ?

Rattrapées au niveau mondial par les effets de la sécheresse et l’épuisement des ressources hydriques, les villes vivent désormais au rythme des coupures d’eau quotidienne partielles ou totales.

En matière de sécheresse, il suffit de se tourner vers la Catalogne pour savoir ce qu’il ne faut pas faire. Après les barrages désormais à sec et l’eau des fleuves détournée, la Catalogne expérimente les usines de dessalement pour endiguer la sècheresse endémique.

Les Soulèvements de la terre publient un essai collectif, sorti le 19 avril aux éditions La Fabrique : "Premières secousses". Qu’on ne s’y trompe pas, ce n’est pas un manifeste.

L’ex-Languedoc-Roussillon connaît un premier défi de taille avec la sécheresse. Il en connaît un second avec la salinisation des sols.

Alors là l’intersyndicale, elle peut prendre des leçons. Question mobilisation réussie en un temps record, les patrons, ils savent faire.

Il y a plus de 50 ans en Espagne, le franquisme commençait à siphonner le Tage pour irriguer l’agriculture intensive en Andalousie. Aujourd’hui le Tage est un fleuve mort, quasiment asséché.

La municipalité de Cessenon sur Orb annonce la tenue d’une réunion publique sur l’eau, le vendredi 12 avril 2024 à 18 h 00 à la salle des fêtes.

Le département de l’Hérault intervient dorénavant toute l’année pour organiser les portages d’eau.

Les PFAS, plus communément appelés "polluants éternels sont des substances aux propriétés chimiques spécifiques qui expliquent leur utilisation dans de nombreux produits de la vie courante : vêtements techniques, mousses à incendie, emballages alimentaires, etc.

Roses, 20 000 habitants l’hiver / 100 000 habitants l’été, risque d’être une des premières stations balnéaires méditerranéennes à être privée d’eau cet été.

On l’oublie souvent, mais la sécheresse a un coût. Dans une ITW donnée à France Bleu Hérault, le maire de Cruzy alerte sur les conséquences financières de la sécheresse au niveau communal.

Dix questions à poser en urgence à la mairesse de Villeneuve-de-la-Raho et aux pouvoirs publics des Pyrénées-Orientales.

Raison impérative d’intérêt public majeur (RIIPM)

Les batteries au lithium ne sont pas considérées en France comme des matières dangereuses. Pourtant elles sont à l’origine de trois catastrophes industrielles, dont deux dans des sites classés « Seveso, seuil haut ».

On se demande si ce n'est pas le rêve caché de l'industrie pharmaceutique, aidé en cela par l'industrie en général et l'industrie chimique en particulier.

La FNSEA cherche à faire croire qu’elle est monolithique et incontestée à l’intérieur et à l’extérieur de la profession agricole. Ce n’est pas le cas ! Il suffit de mesurer la différence sociale entre ses dirigeants et ses adhérents voire ses votants.

À partir de 2035, la vente de voitures neuves thermiques sera interdite par la réglementation. L’électrique représente 15 % des ventes d’auto­mobiles en France sur les neuf premiers mois de 2023.

Le département des Pyrénées-Orientale, comme celui de l'Hérault, manque d'eau. Plusieurs villages sont alimentés par camions citernes et par bouteille.

J’ai entendu un militant de la FNSEA déclarer fièrement qu’après leur barrage sur l’autoroute, ils avaient tout nettoyé.

C’est une belle victoire pour l’association Sauvegarde du paysage des 7 collines : le pourvoi de la société Ferme éolienne de Puissalicon – filiale du groupe Volkswind, lui-même filiale du Suisse Axpo - n'est pas admis par le Conseil d’État, par décision du 10 janvier 2024.

Le nouveau président argentin s’attaque aussi à l’environnement. Il compte amplifier le pillage et l’accaparement en supprimant les réglementations environnementales.

L’année 2024 sera décisive d’un point de vue économique et écologique dans l’Hérault. Elle peut, en pleine sécheresse durable, sceller ou pas, la privatisation d’une des plus grandes réserves d’eau du département.

Qui aurait pu croire que les communes des Hauts-cantons de l’Hérault manqueraient un jour d’eau ? C’est pourtant ce qui arrive dans les communes de Courniou et Riols.

L’implantation des centrales éoliennes en milieu rural, et en particulier sur les territoires désertifiés du Massif Central, a toutes les caractéristiques d’une entreprise coloniale dans les moyens employés pour s’imposer et dans le partage de la richesse produite.

27 km de contournement terrestre du canyon de Capbreton, c’est-à-dire 27 km de tranchées pour enterrer une ligne de 400 000 volts à courant continu, d’une puissance de 2 x 1000 MW.

Il sera intéressant de se pencher sur la future liste des Ecologistes (EELV) aux prochaines élections européennes et de vérifier si, comme pour les deux précédentes, y figure monsieur Grandidier, PDG de l’entreprise éolienne Valorem.

Le 5 octobre dernier le collectif Lauragais Sans Bitume organisait sa première réunion publique sur les centrales à bitume de l’A69. En 10 semaines il en a organisé 8. D’autres suivront en début d’année 2024.

Interrogée sur France Inter au sujet de l’accord trouvé à Doha, Agnès Pannier-Runacher s’est félicitée de cette grande victoire « pour la France, pour l’Europe et pour le climat ».

Alors qu'on ne sait toujours pas quoi faire de nos déchets nucléaires qui restent radio-actifs donc très dangereux pendant des dizaines, des centaines ou des milliers d'années...

La cour d’Appel de Nîmes a jugé que les 7 éoliennes de Bernagues à Lunas dans l’Hérault, doivent être démolies. Cette victoire est une première en France !

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