L’actualité « hebdromadaire » biterroise en long, en large et en travers du mercredi 15 octobre 2025
- Inspecteur gadget (1) : le maire de Béziers est une sorte d’inspecteur gadget. À l’instar du célèbre héros de bande dessinée, il multiplie les gadgets qui sont censés enrayer l’insécurité
- Inspecteur gadget (2) : ces gadgets vont du poids des crottes de chien dans le centre-ville à la destruction des scooters confisqués
- Inspecteur gadget (3) : le dernier gadget sécuritaire concerne ni plus ni moins, la mise en place d’une brigade des stups municipale qui était évoquée dans le précédent numéro
- Inspecteur gadget (4) : à défaut d’être efficace ces gadgets ont un coût pour le contribuable
- Inspecteur gadget (5) : le conseiller municipal d’opposition Thierry Antoine vient de le rappeler au dernier conseil municipal
- Inspecteur gadget (6) : le coût des mesures d’affichage est un des plus élevés de France (le deuxième très exactement) pour une efficacité des plus douteuses
- Inspecteur gadget (7) : dans la seule semaine dernière . . .
- Inspecteur gadget (8) : 5 voitures ont brûlé à 200 mètres du poste de commandement vidéo de la police municipale
- Inspecteur gadget (8) : un homme blessé par balles a été déposé devant le service des urgences de l’hôpital de Béziers
- Inspecteur gadget (9) : des policiers municipaux ont été visés par des tirs de projectiles
- Inspecteur gadget (10) : en conclusion, notre inspecteur gadget local n’assure ni la sécurité des biens, ni la sécurité des personnes
- Insécurité sociale (1) : comme bien souvent avec l’extrême droite, l’affichage sécuritaire va de pair avec le matraquage social
- Insécurité sociale (2) : à la mairie de Béziers, les 1600 employés municipaux peuvent prétendre à une prime annuelle au mérite facultative et variable
- Insécurité sociale (3) : seulement 377 employés municipaux l’ont perçu en 2025
- Insécurité sociale (4) : 1223 employés n’ont rien perçu, soit quasiment 3 fois plus. À un tel niveau de disparité ce n’est plus de la discrimination, c’est de l’austérité
- Insécurité salariale (1) : les 145 salariés de l’OPH Béziers Méditerranée gérés par le même employeur dénoncent depuis des années un fonctionnement interne « toxique »
- Insécurité salariale (2) : un cabinet indépendant a mené une enquête sur la gestion du personnel au sein de l’OPH
- Insécurité salariale (3) : le cabinet ayant rendu ses conclusions, une suspension de 4 mois de la directrice générale a été préconisée
- Insécurité salariale (4) : le maire de Béziers et président de l’agglomération a préconisé lui, de réunir un conseil d’administration pour statuer sur cette préconisation
- Insécurité salariale (5) : loin des caméras, des micros et des plateaux télé, le maire de Béziers n’a pas la même promptitude pour prendre des décisions
- Insécurité scolaire (1) : les enseignants et personnels des collèges biterrois de la Dullague et de Lucie Aubrac demandent depuis des années le classement de leur établissement en REP+ (réseau d’éducation prioritaire renforcé)
- Insécurité scolaire (2) : Comme cette demande date de plusieurs années ils vont manifester à Béziers et à Paris devant leur ministère
- Insécurité scolaire (3) : à ce jour cette situation n’a pas été évoquée publiquement par le maire de Béziers
- Insécurité électorale : face à un tel bilan il serait de bon ton d’instituer une bonne dose d’insécurité électorale en virant Ménard aux prochaines élections municipales
La parution d’Aqui, aqui, es Besièrs va être interrompue pendant les vacances scolaires. Le prochain numéro sera mis en ligne le mercredi 5 novembre 2025