« Sabotage » : le mot revient onze fois dans les quatre pages de la lettre de griefs écrite par le ministère de l’Intérieur pour argumenter en faveur de la dissolution des Soulèvements de la Terre.
C’est le principal motif mis en avant pour interdire aux membres de ce mouvement de se réunir ou de mener la moindre activité collective.
Brèvinfo du 15 juin – Après sa dissolution, la Jeune garde saisit le Conseil d’État pour « faire la différence entre Jean Moulin et Klaus Barbie »
Ce 12 juin, le gouvernement a dissous la Jeune garde, un groupe antifasciste fondé en 2018. L’organisation, dont un des représentants est le député LFI Raphaël Arnault, va contester la décision devant le Conseil d’État. (Street Press)