Grenoble se flatte d’être la capitale française des micro et nanotechnologies. Poussées par les subventions publiques, de nombreuses entreprises y fabriquent des composants nécessaires aux « objets connectés ». Or la production de ces puces nécessite une quantité faramineuse d’eau, qu’elles puisent dans le réseau potable avant d’en rejeter une grande partie, complètement polluée par les traitements chimiques qui « lavent » les plaquettes de silicium. Tous et toutes à Grenoble ce dimanche 30 mars (Les Soulèvements de la Terre)
Brèvinfo du 6 décembre – Tarn : Que silence se fasse !
La mobilisation contre un projet d’usine de bitume a mis en lumière de potentiels conflits d’intérêt entre élus et chefs d’entreprises. Le collectif No Bitume, non content de bloquer le projet, a tenté d’intervenir dans la procédure pénale, sans...























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