Grenoble se flatte d’être la capitale française des micro et nanotechnologies. Poussées par les subventions publiques, de nombreuses entreprises y fabriquent des composants nécessaires aux « objets connectés ». Or la production de ces puces nécessite une quantité faramineuse d’eau, qu’elles puisent dans le réseau potable avant d’en rejeter une grande partie, complètement polluée par les traitements chimiques qui « lavent » les plaquettes de silicium. Tous et toutes à Grenoble ce dimanche 30 mars (Les Soulèvements de la Terre)
Brèvinfo du 5 décembre – Comment les médias font campagne pour l’extrême droite et trichent avec la pluralité
Sur les plateaux télé, il y a les invités politiques officiels, ceux qui sont membres de partis et identifiés comme tels, et il y a les «éditorialistes» et les «chroniqueurs», qui diffusent leur idéologie derrière une fausse neutralité et un statut d’expert. Ce sont...

























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