La politique locale et les saillies médiatiques du couple présidentiel biterrois décryptées pour les nuls et les résistants.

 

  • Sortie : la sortie vient d’être montrée aux présidents des fédérations de rugby, foot et hand, pourquoi pas aux présidents de la République et de l’agglomération ?

 

  • Modem : en plein conflit des retraites, le Modem 34 a failli provoquer une crise gouvernementale en se réunissant le jour anniversaire de la décapitation de Louis XVI au restaurant biterrois Gilles et John.

 

  • Mixité : avis à la population ! administrativement, un commissariat mixte ce n’est pas un commissariat où il y a des hommes et des femmes, des blancs et des noirs, des jeunes et des vieux. C’est un commissariat où il y a les polices nationale et municipale.

 

  • Avec Ménard : Carole Delga la présidente de la région Occitanie a indiqué que le fonds régional de tourisme avait donné 1,5 M€ pour la transformation de l’ancienne prison biterroise en hôtel de luxe.

 

  • Sans Ménard : l’inauguration des futurs espaces de l’Institut de formation aux métiers de la santé ( IFMS ) et celle de la Caisse d’allocation familiale ( CAF ) par la même présidente de région, ont été réalisées sans la présence de l’actuel maire de Béziers. Normal, il y avait le futur prochain maire, Thierry Mathieu, actuel directeur départemental de la CAF.

 

  • Hydrogénoduc : c’est le nom du gros tuyau qui va faire circuler l’hydrogène entre Marseille et Barcelone. Première indication, le raccordement régional se fera à Port la Nouvelle, là où la région a préempté des terrains. Port la Nouvelle, ce n’est pas Valras ! Et dire que le maire pense que tout se fera à Béziers. Genvia ce n’est pas j’ai envie.

 

  • Pôle multimodal : un pôle multimodal c’est un machin où il n’y aura pas pôle emploi, mais où plein de trucs tourneront autour du train. Et vous le devinez, c’est pour Béziers !

 

  • Amiante : Les travaux de réhabilitation de l’avenue du 22 août 1944 ont révélé la présence de 3000 tonnes d’amiante sur une épaisseur de 18 centimètres. Au-delà du surcoût financier ( 800 000 euros) se pose la question de la sécurité des riverains et des ouvriers quand on connaît le caractère hautement cancérigène de cette substance.

 

Ces commentaires sont issus d’articles récents du quotidien Midi Libre.

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