Les magistrats marseillais sont impayables.

Faisant le constat devant une commission sénatoriale qu’ils sont entrain de perdre la guerre face aux narcotrafiquants, ce qui, selon eux, mettrait en danger l’État de droit, ils réclament pour les combattre des exceptions à cet État de droit.

Cours d’Assises spéciales, régime carcéral très dur, pour qu’ils « ne puissent avoir aucun contact avec l’extérieur », limitation des recours et même, de façon indirecte, mise en question des tactiques des avocats de la défense qui se battent non sur le fond du dossier mais sur la procédure (ça rappelle les avocats d’un ancien président).

Ces magistrats pourraient se demander pourquoi la lutte contre le narco trafic n’a été gagnée nulle part dans le monde, même avec les modes de répressions les plus radicaux, et passer à autre chose : la légalisation peut-être… ?

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