C’est d’abord l’odeur, écœurante, qui saisit les narines. En s’approchant de la rive, on comprend d’où elle s’échappe. Dans des flaques d’eau verte, chaude et stagnante frétillent quelques petits poissons. Autour, l’étendue de galets et roches blanches qui faisaient autrefois le lit de la rivière gardoise la Cèze donne au lieu des allures de désert.

Dans les rivières, qui dit moins d’eau, dit eau plus chaude. Dans le Gard, pour aider les truites fario ou les écrevisses à pattes blanches, des pêcheurs les déplacent.

(Source Reporterre)

 

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