La politique locale et les saillies médiatiques du maire de Béziers décryptées pour les nuls et les résistants.

  • Transformer une prison en hôtel restaurant de standing il fallait y penser, le maire de Béziers l’a facilité ! Dès juin 2023, les bourgeois qui veulent s’encanailler pourront dormir, manger, copuler . . . dans l’ancienne prison biterroise près de la cathédrale.

 

  • La haine de l’activisme autre que celui de l’extrême droite peut prendre des formes radicales. Sur son compte Tweeter, le maire de Béziers se satisfait que des militants du climat soient restés enfermés 42 heures dans une concession Porsche où ils s’étaient collés au sol, pour dénoncer la gabegie automobile.

 

  • Le flirt de la ménardie avec la macronie continue. Le 23 octobre dernier, le couple présidentiel biterrois dinait avec la sulfureuse députée LREM Mirallès récemment nommée secrétaire d’état chargée des anciens combattants malgré plusieurs casseroles.

 

  • La secrétaire d’état avait choisi la capitale mondiale de l’interventionnisme guerrier français pour célébrer, au plateau des poètes, les victimes de l’impérialisme français au Liban : 58 militaires morts lors de la destruction de l’immeuble Drakkar en 1983.

 

  • C’est nouveau, le président maire de Béziers n’aime pas ceux qui en font trop. Il vient de tancer son ex-camarade Zemmour pour avoir acheter les droits de domaine au nom de Lola contre l’avis de sa famille. Trop en faire c’est un art, point trop n’en faut.

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