Midi Libre a été invité à suivre les exploits des pilotes de drones de la police. Ils étaient mobilisés pour surveiller une manifestation anti corrida pacifique de 120 personnes.
Le préfet a les moyens.
Le journaliste l’assure ils ne sont pas là pour espionner les gens mais pour assurer leur sécurité.
Pourtant quelques lignes plus haut il s’était enthousiasmé des performances des pandores: « l’image projetée sur son écran de contrôle est bluffante : on peut lire l’inscription imprimée sur le T shirt d’une manifestante ».
Peut-être par manque de place, le journaliste n’explique pas en quoi zoomer sur les manifestants concourt à leur sécurité et pas à leur fichage.