Interdictions de manifester, courriers comminatoires envoyés par le préfet en personne, instrumentalisation d’un attentat antisémite, amendes pour entrave à la circulation ou dépôt de déchets sur la voie publique : rien n’est épargné aux militants pro-palestiniens de Montpellier. (Blast)
Brèvinfo du 15 juin – Après sa dissolution, la Jeune garde saisit le Conseil d’État pour « faire la différence entre Jean Moulin et Klaus Barbie »
Ce 12 juin, le gouvernement a dissous la Jeune garde, un groupe antifasciste fondé en 2018. L’organisation, dont un des représentants est le député LFI Raphaël Arnault, va contester la décision devant le Conseil d’État. (Street Press)