Samedi 23 septembre, 157 organisations appellent à des marches « contre les violences policières, contre le racisme systémique et pour les libertés publiques ». Une initiative qui n’entre pas dans le périmètre des actions « acceptables » aux yeux des gardiens de l’ordre : dans les matinales notamment, les intervieweurs se penchent sur l’opportunité d’interdire la manifestation – faisant d’une revendication du syndicat de police Alliance leur propre problématique éditoriale –, ou polémiquent sur un slogan. Ce qu’on appelle un pouvoir de cadrage… et de stigmatisation.

(Acrimed)