L’actualité « hebdromadaire » du jeudi 2 mai au mercredi 8 mai 2024. Cette semaine à la une, les non-remplacements, Agde, le logement, Mazeran,

  • Non-remplacements (1) : les enseignants du collège Krafft à Béziers se mobilisent contre leurs non-remplacements. Ils sont rejoints par les associations de parents d’élèves.

 

  • Non-remplacements (2) : ces non-remplacements représentent un total de 38 semaines depuis la rentrée de septembre.

 

  • Non-remplacements (3) : légalement, un titulaire sur zone de remplacement (TZR) doit intervenir dans le cas d’une carence de 15 jours.

 

  • Non-remplacements (4) : heureusement que pour le Premier ministre l’école est une priorité nationale.

 

  • FOG : Frantz-Olivier-Giesbert (FOG) a tenté de lever le brouillard sur la Ve République à la Médiathèque André Malraux (MAM).

 

  • Agde (1) : les enquêteurs du SRPJ de Montpellier tirent les fils du mariage princier de la protégée du maire LR d’Agde.

 

  • Agde (2) : pour ce mariage, le montage financier occulte porte sur une somme de 80 000 euros payés par les contribuables agathois.

 

  • Agde (3) : dans les 350 invités du mariage, il y avait tout le gratin de la promotion immobilière et autres entrepreneurs qui gravitent autour du maire.

 

  • Agde (4) : une certitude, les 8000 euros de frais de location du château nuptial ont été payés en liquide.

 

  • Agde (5) : des soupçons. Pour financer le repas du soir, 4 sociétés agathoises auraient été mises à contribution.

 

  • Agde (6) : une découverte, les alliances, comme le voyage de noces à Tahiti ont été offertes.

 

  • Agde (7) : une révélation. Des employés municipaux auraient eu pour mission de procéder aux travaux d’installation et de décoration du mariage sur leur temps de travail.

 

  • Agde (8) : une malversation. Deux entreprises agathoises (travaux publics et installation électrique) sont soupçonnées d’avoir servi de société-écran et d’avoir été ensuite rétribuées avec des factures honorées par les finances de la ville.

 

  • Agde (9) : le déroulement de la pelote de fil du mariage princier doit commencer à provoquer des sueurs froides dans le microcosme agathois (Toutes ces informations sont issues du quotidien Midi Libre.)

 

  • Partageothèque : la « Partageothèque » à Vendres c’est une association de prêt et d’échange de divers matériels. La « Partageothèque », c’est l’inverse du capitalisme, et c’est dans une mairie communiste. Comme disent les camarades locaux, « à Vendres tout n’est pas à vendre ».

 

  • Logement (1) : dans son dernier rapport, la fondation Abbé-Pierre indique que 4,1 millions de Français sont mal logés, 2,6 millions en attente d’un logement social, 1,7 million d’un premier logement. En Occitanie le nombre de demandeurs a augmenté de 10 % en un an.

 

  • Logement (2) : le nombre de permis de construire était en baisse de 19,8 % d’avril 2023 à mars 2024 par rapport à l’année dernière. Le nombre de mises en chantier chute pour la même période de 23,3 %.

 

  • Logement (3) : au moment où les Français ne peuvent plus se loger, le gouvernement, la droite et l’extrême droite multiplient les couvre-feux. Bizarre non ?

 

  • Continuité : à l’Assemblée nationale, la députée E. Ménard vote contre l’avortement. Au conseil départemental de l’Hérault, les élus RN et Ménard font la même chose en votant contre la facilitation de l’accès aux démarches d’IVG.

 

  • Mazeran (1) : Mazeran à Béziers, c’est une zone de 90 hectares vouée à l’activité économique.

 

  • Mazeran (2) : labellisé « Site clés en main, France 2030 », par le gouvernement, cette ZAE fait partie des 5 sites nationaux à être opérationnels dès 2024.

 

  • Mazeran (3) : depuis 2 ans et demi, aucune commercialisation n’est engagée.

 

  • Mazeran (4) : Si je résume, Mazeran c’est une zone d’attractivité nationale sans personne au niveau local.

 

  • Mazeran (5) : Bon, cela dit, pour l’objectif 2024, on n’est qu’à la moitié de l’année.

 

  • Pauvreté (1) : un jeune sur quatre est confronté à la pauvreté en Occitanie, à Béziers, c’est plus d’un sur deux selon l’INSEE.

 

  • Pauvreté (2) : dans les villes de l’ex-Languedoc-Roussillon, Béziers arrive en tête avec un taux de pauvreté de 52 %.

 

  • Pauvreté (3) : c’est peut-être pour ça que les jeunes sortent la nuit après 22 h à Béziers.

 

  • Ces commentaires sont issus d’une lecture libre et partisane de l’actualité locale : aqui, aqui, es Besièrs, c’est tous les jeudis ( prochain rendez-vous jeudi 16 mai 2024 )

 

 

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