Dans un article intitulé : » Bétharram qui savait ? « , La Dépêche reproduit le tour de passe-passe devenu à la mode dans les médias bien-pensants.
Philippe Rioux, après avoir cité tous les mensonges de François Bayrou, conclut : » L’essentiel maintenant est que les projecteurs se braquent davantage sur les dizaines de victimes et sur les responsables (…) plutôt que sur le Premier ministre aujourd’hui seul face à sa conscience. »
Ben voyons, il est déjà bien malheureux d’avoir rien fait à l’époque et obligé de mentir maintenant … on ne va pas l’accabler. Il est suffisamment puni : vous vous rendez-compte ! » seul face à sa conscience « , pour lui c’est comme face au néant.