Politique locale

La politique locale et les saillies médiatiques du couple présidentiel biterrois décryptées pour les nuls et les résistants.

La politique locale et les saillies médiatiques du couple présidentiel biterrois décryptées pour les nuls et les résistants,

En séance du conseil municipal, il n'est pas rare d'entendre Robert Ménard user d'une rhétorique boiteuse.

 Ainsi, lorsqu'un conseiller d'opposition pose une question relative, par exemple, à une subvention à attribuer à l'entreprise privée ASBH, le maire répond régulièrement :

"Si vous contestez l'attribution d'une telle subvention,

c'est que vous n'aimez pas le rugby,

si vous n'aimez pas le rugby, c'est que vous n'aimez pas Béziers" 

Compte rendu de la réunion avec le maire au Palais des Congrès le 7 janvier 2023, par une participante

 

La politique locale et les saillies médiatiques du couple présidentiel biterrois décryptées pour les nuls et les résistants.

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La politique locale et les saillies médiatiques du couple présidentiel biterrois décryptées pour les nuls et les résistants, (numéro spécial : a l’an que ven)

La politique locale et les saillies médiatiques du couple présidentiel biterrois décryptées pour les nuls et les résistants, ( numéro spécial Noël )

(A relire ) Chers amis antiracistes, chers amis antifascistes, chers amis amoureux des canidés,

Bonjour !

Petite devinette : Connaissez-vous le CER ?  Non ? un sigle de plus me direz-vous !  Sur internet, si on tape C.E.R le résultat est " Centre d'Education Routière".  Eh bien ce n'est pas du tout de ce CER-là dont je veux vous parler. Car c'est aussi  le nom d'un décret du 24 août 2021 entré en vigueur le 2 janvier 2022 qui est inclus dans le cadre de la loi contre le séparatisme.

La politique locale et les saillies médiatiques du couple présidentiel biterrois décryptées pour les nuls et les résistants ( numéro spécial laïcité héraultaise et biterroise )

La politique locale et les saillies médiatiques du couple présidentiel biterrois décryptées pour les nuls et les résistants ( numéro spécial ASBH ).

La politique locale et les saillies médiatiques du couple présidentiel biterrois décryptées pour les nuls et les résistants,

La politique locale et les saillies médiatiques du couple présidentiel biterrois décryptées pour les nuls et les résistants : numéro spécial « devoir de mémoire »

La politique locale et les saillies médiatiques du couple présidentiel biterrois décryptées pour les nuls et les résistants : numéro spécial fêtes de Noël

La politique locale et les saillies médiatiques du couple présidentiel biterrois décryptées pour les nuls et les résistants : numéro spécial projet de loi abolition de la corrida

La politique locale et les saillies médiatiques du maire de Béziers décryptées pour les nuls et les résistants.

La politique locale et les saillies médiatiques du maire de Béziers décryptées pour les nuls et les résistants,

Au début du mois de novembre, le conseil municipal de la ville de Béziers a examiné le rapport d'orientations budgétaires, préalable au vote du budget 2023 qui interviendra au cours de la séance du 5 décembre.

 Ce rapport contient, entre autres :

  • un aveu (l'endettement de la ville atteint un montant record)
  • et un masque (une pression fiscale sans cesse accrue)

 Ces deux indicateurs sont révélateurs d'une fin de règne pour Robert Ménard.

La politique locale et les saillies médiatiques du maire de Béziers décryptées pour les nuls et les résistants (numéro spécial à partir du compte Twitter).

La politique locale et les saillies médiatiques du maire de Béziers décryptées pour les nuls et les résistants.

La politique locale et les saillies médiatiques du maire de Béziers décryptées pour les nuls et les résistants.

(A relire) Chers amis antiracistes, chers amis antifascistes, chers amis agnostiques amoureux de la liberté de culte et de penser . . .

Bonjour !

Samedi 24 septembre après midi à Béziers, les trombes d’eau annoncées par les suppôts de la manif pour tous ne sont pas venues empêcher le déroulement de la première marche des fiertés biterroise.

Robert, tu es le chef le plus mal élu : moins d'un tiers du corps électoral s'est prononcé en ta faveur et, pourtant, tu diriges sans partage.

 Il est temps, aujourd'hui, de se pencher sur les résultats de ton action : ta gestion est catastrophique et ton bilan politique est nul.

 Une faillite collective et un échec personnel ne peuvent être sanctionnés que par une fuite loin d'ici, sans espoir de retour.

 Photo : l'Obs

Samedi 17 septembre l’après-midi est ensoleillé à Bédarieux. Un drôle de général a fait déplacer 500 pioupious des villes et des campagnes Héraultaises pour leur proposer de s’engager sur le front de la Somme et de l’Orb. Dis comme ça, ce communiqué de campagne aux faux airs militaires ne parlera pas aux absents de la journée organisée par la NUPES des cinquièmes et sixièmes circonscriptions Héraultaises : et pourtant  . . .

Compilation des infos marquantes des législatives 2022

Le conseil municipal, réuni le 30 mai, a adopté le compte administratif 2021 de la ville de Béziers et pris connaissance de décisions du maire en matière d'emprunts.

EVAB avait déjà appelé l'attention sur la croissance du niveau de l'endettement de la ville de Béziers.

Aujourd'hui, il s'agit d'une véritable alerte : la politique erratique du maire de Béziers en matière d'emprunts conduit à accroître sans mesure le recours à l'emprunt.

Le président du conseil départemental de l’Hérault, Kléber Mesquida serait-il mesquin ?

À la suite du premier tour des élections législatives 2022, une seule nuance de brun domine dans l’ex-région Languedoc-Roussillon et dans le département de l’Hérault, c’est le brun du Rassemblement National.

À l’instar de leur nouveau mentor, E. Macron, les Ménards semblent reprendre dans une version biterroi / biterroise le célèbre ni de gauche, ni de droite présidentiel. Chez eux, ce serait plutôt : ni de droite extrême, ni d’extrême droite. A l’usage des faits le ni / ni présidentiel s’est révélé être carrément à droite. Qu’en est-il du ni / ni Ménardien ?

On peut regretter avec le NPA que l’Union populaire ne concrétise pas une rupture radicale avec le libéralisme en s’alliant avec le Parti socialiste. Il eût fallu pour cela que les conditions politiques permettent cette radicalité. Or le 2ème tour de la présidentielle a imposé pour la seconde fois un candidat libéral autoritaire et une candidate d’extrême droite. On peut se réjouir dans ces conditions que l’Union populaire permette aux forces de gauche de reprendre confiance en leur capacité à répondre à l’urgence sociale et écologique qui est la nôtre. Les vétérans du PS, atteints du syndrome de Stockholm, singent depuis trop longtemps les tenants du libéralisme autoritaire au nom d’un pragmatisme de mauvais aloi. Remettre en question leur héritage et leur reprendre le bâton de parole n’était pas imaginable il y a encore quelques semaines.

Dans un précédent article nous posions la question qui fâche à l’extrême droite : quelle plus-value amène la franchise Ménard au RN ?

Voici une liste (non exhaustive), des tops et des flops du deuxième tour de l’élection présidentielle dans le département de l’Hérault.

Depuis son retour à l’hôtel de ville, le conseil municipal compte un élu supplémentaire : un labrador jaune prénommé Jojo.

 Lors de la séance du 4 avril 2022, le conseil communautaire a voté le taux de la taxe d'enlèvement des ordures ménagères (TEOM).  Ce taux (14.05 %), anormalement élevé par rapport au coût de fonctionnement du service, entraîne une compensation versée à la commune de Béziers.

 Une telle manœuvre constitue un détournement de taxe et une escroquerie au détriment du contribuable.

L’ex-région Languedoc-Roussillon était un fief RN depuis plusieurs élections. La question qui se posait avant le premier tour était : la région Occitanie peut-t-elle suivre la même orientation ?

Nous avons souvent alerté sur le fait que les Ménard utilisaient une sorte de franchise RN pour construire leur propre avenir politique, pour leur propre compte.

Dans un récent éditorial de l’organe publicitaire Mon Hérault, Kleber Mesquida choisit ce titre auquel on ne peut qu’adhérer.

Vous trouverez dans cette liste les villes et villages pas si Gaulois que ça dans le département de l'Hérault, où la gauche (en l'occurrence le vote Mélenchon) arrive en tête des suffrages exprimés.

Le premier tour de l’élection présidentielle à Béziers configure une nouvelle donne à gauche, à droite et à l’extrême droite.

Définition de coïncidence : événements qui arrivent en même temps par hasard.

Les Biterrois ont pu apercevoir récemment des affiches municipales d’où saillait une tête de cochon noir un peu inquiétante sur fond noir. Contre toute apparence ces affiches annonçaient dimanche 3 avril une foire aux cochonnailles autour des Halles. L’événement était initié par la mairie.  Étrangement ce n’était pas le terme de foire qui était utilisé, mais de feria, littéralement "fête" en espagnol, souligné par les couleurs hispaniques. Point de combat de cochons pour autant, mais un petit enclos de porcelets.

Dimanche 3 avril commençait le Ramadan. Mais les deux événements sont arrivés en même temps par hasard. Aucun lien avec la croisade identitaire de Robert Ménard.

Le label cité éducative obtenu par la ville de Béziers est une source de financement pour mener des projets et acheter du matériel à destination des jeunes de 3 à 25 ans sur le centre-ville. C’est ainsi que des élèves de CP ont reçu récemment chacun un dictionnaire.

Le label cité éducative sert également à financer la promotion personnelle du maire de Béziers qui a commandé à Hachette une édition spéciale avec sa photo en page liminaire. À noter qu’il est allé chercher une photo de lui avec son chien Jojo. Histoire de passer pour le gentil, auprès des élèves qu’il a notoirement stigmatisés et à qui il offre aujourd’hui des dictionnaires. On remercie Hachette, qui n’appartient pourtant pas encore au groupe Bolloré.

 

 

 Généralement, les presque 35 000 communes de France (34 954 exactement au 1er janvier 2022) ne procèdent à aucune évaluation des politiques publiques qu'elles conduisent.

 Cela est vrai en particulier à Béziers où le maire, Robert Ménard, ne s'interroge guère sur l'efficacité des actions engagées sous son autorité et sa responsabilité.

 Le système de vidéosurveillance, ou de vidéo-protection selon la nouvelle appellation, illustre parfaitement cette absence d'évaluation d'une politique sécuritaire pourtant très coûteuse pour le contribuable biterrois.

 Mais inefficace !

Vous voyez le quartier Port Notre Dame, au bas du Faubourg ? Il s’étale de part et d’autre du « Canalet », trop-plein du Canal du Midi.

Lors de la dernière séance du conseil municipal (7 février 2022) l'assemblée délibérante a décidé d'accorder la gratuité de la salle zinga zanga pour l'organisation d'un concert du chanteur d'extrême-droite Jean-Pax Méfret (avec entrée payante, de 25 à 30 euros !).

On apprenait en décembre que Robert Ménard est allé faire du gringue aux maires de Bassan et Coulobres qui ont accepté de rejoindre la majorité ménardienne à l’Agglo Béziers-Méditerrannée. Cette décision montre combien la montée de l’extrême droite en France ne s’appuie pas seulement sur la monopolisation médiatique, le relai d’une grande partie de la classe politique des discours lepéno-zemmouriens et la multiplication des violences ultra-droitistes contre des journalistes ou des militants. L’appel à une forme de real politik en constitue également un fer de lance.

Les nuages s'accumulent sur la gestion de la ville par Robert Ménard : le budget primitif 2022, adopté lors de la séance du conseil municipal réuni le 13 décembre, révèle les limites d'un "volontarisme" qui ne parvient pas à masquer un certain amateurisme.

Alain Biola, maire de Bassan (2 144 habitants) et Gérard Boyer, maire de Coulobres (364 habitants) ont décidé de rejoindre la majorité ménardienne de la communauté d'agglomération Béziers Méditerranée après avoir siégé dans les rangs de l'opposition. Ces deux transfuges justifient leur choix en invoquant leur désir de "travailler pour le bien commun" et leur volonté de "participer aux décisions".

Les élus locaux qui participent à l'exécutif (maire et adjoints, président et vice-présidents, conseillers délégués…) perçoivent des indemnités pour l'exercice de leur mandat. Mais la répartition de ces indemnités est très inégalitaire.

Selon la note de synthèse présentée dans la délibération, près de 300 commerçants, restaurateurs et artisans sont partenaires du projet, ce qui représente près 100 000 francs biterrois mis en circulation sur notre commune.

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